Vi Faivre

Paysage mou, plus petit que nous. L’ homme qui peu déplacer une montagne.
J’ai toujours voulu transporter les spectateurs vers des autres mondes, pas trop loin du réel mais plutôt une autre façon de voir la vie qui les entoure avec un regard proche du rêve, chacun peu y voir autre chose, la réalité ou un ailleurs.Par le travail sur des petites montagnes en tissu, je voudrai que le spectateur, agrandi par rapport à ce qui l’entoure, voit son importance (voire l’impacte qu’ il a dans la nature qui nous semble si grande mais qui est si fragile) face à un paysage et pour une fois, il peux , tel un géant, déplacer la montagne en la prenant en main comme dans les contes d’autrefois ; il est directement dans un paysage, toujours proche du réel mais qui permet au regard de s’égarer, de se questionner, de voir autre chose dans la réalité, comme il devrai faire tout les jours.